Réponse au poulet braisé n°4

Coucou les poulettes et poulets de Colomiers,

 

Merci pour votre retour ! Eh bien, c’est une avalanche d’avis et de questions ! C’est chouette pour moi d’avoir autant d’échos par rapport à ce qui a déjà été écrit…

 

ça y est, je suis complètement immergé dans le récit et les personnages. L’écriture, c’est comme une locomotive de l’ancien temps. Le démarrage, le temps que les turbines chauffent et se mettent en action, la machine peine un peu au début. Il en est de même pour les premiers chapitres… Et puis une fois que le train s’élance, bien droit sus ses rails… pour moi, ça file, ça file à toute vitesse ! De nouvelles idées arrivent dans mon crâne à toute allure et j’ai les doigts qui trépignent sur le clavier… Quoi que je fasse dans la journée, je pense à Mirabelle, Paul, Domino et Victorin. Ils envahissent mon esprit comme de satanés fantômes. Pas moyen de m’en dépaître… et c’est… trop bon ! En tout cas, ça me fait du bien !

 

Je suis donc heureux que cette suite vous ait plu ! Vous allez voir ce que je réserve pour la suite, ah ah ah !

 

Pour répondre à certaines des questions (je ne peux pas répondre à toutes, vraiment désolé ! Car vous êtes douze classes à me parler en même temps ! Hi hi hi…

 

Concernant la thèse de Domino, il n’y a pas de réussite attendue. Elle va justement tester cette envie qu’elle a depuis longtemps… Mais j’aimerais bien qu’apparaisse dans le récit le moment où toutes les bestioles sont mélangées… ça peut être fun.

 

Concernant l’argent accumulé d’Aglaé, vous le saurez plus tard.

 

C’est bien la même apparition à Paul qui chante à son oreille, mais surtout qui les a sauvés de la noyade avec la voiture.

 

En effet, j’aime beaucoup mettre de la musique dans mes romans. Tant mieux si pouvez aller écouter la chanson de Nougaro, mais aussi celle Bruce Springsteen, évoquée dans les premiers chapitres !

 

Mais par contre, quand j’écris, c’est dans le silence le plus total. Même la seule présence de quelqu’un dans la maison me perturbe ! Je deviens un moine dans ces moments-là…

 

C’est rigolo pour la blague du « poulet fermier », car en dehors de l’idée du tracteur, vous verrez dans les nouveaux chapitres que je vous envoie jeudi, j’utilise l’expression !

 

Désolé, mais je ne souhaite pas noter sur 20 un dessin… J’ai toujours détesté les sytèmes de notation, et ce depuis le collège !

 

Juste, le dessin est super !