80 thoughts on “Une poignée d’étoiles

  1. A première vue il me paraissait bien car ça sortait des livres que nous avions pu lire jusqu’alors. C’est pour cela que certains moments m’ont « marqués » car après avoir lu : le cid, Cyrano, etc, j’ai été un peu étonné de retrouver des phrases telles que « ce salaud de producteur » ou « ce gros porc ». Un autre m’a marqué « la pauvreté étouffe nos rêves avant même que nous ayons rêvé » c’est vachement triste.
    Il y a un truc qui m’a dérangé c’est que nous ne connaissions pas le nom du narrateur. Du coup je dirais que mon personnage préféré est Oncle Salim pour ses histoires et car il est mort.
    Ce roman n’est pas ennuyant mais il y avait certains passages dont on pouvait se passer complétement. Des fois le narrateur nous contait une histoire sur une fleur qui grimpait un rocher, d’autres fois c’était les histoires d’Oncle Salim ou encore il racontait sa journée à l’école mais il y avait peu de rebondissements. Si ce n’est la mort d’Oncle Salim et l’arrestation de son père j’ai tout de même trouvé que ce n’était pas assez détaillé et développé pour me marquer. Vous me direz sans doute que c’est parce que c’est un vrai journal et que sa vie n’est pas si palpitante que ça …
    Je pourrais citer énormément de livres qui pourrait ressembler à celui-là car c’est une sorte de journal intime mais en réalité comme chaque livre est propre à son auteur je trouve ça compliqué et je n’en connais aucun sur un enfant qui vient de Syrie, qui aime la poésie ou ces points communs qui pourraient aller avec ce livre.
    Note du livre : 6,5/10

  2. Critique livre « Une poignée d’étoiles »
    J’ai bien aimé le livre « une poignée d’étoiles » de Rafik Schami, car il était agréable à lire. Il nous donnait envie de connaître la suite.
    Ce que j’ai aimé dans ce livre, ce sont les rebondissements qu’il y a eus. Il y a eu de la joie, mais aussi beaucoup de peine… Je pense à la mort d’Oncle Salim par exemple, et j’en passe. J’ai apprécié également que le personnage principal se donne à 100% chaque jour pour devenir journaliste. Dans ce livre, on a pu découvrir comment les syriens et les syriennes vivaient, même si j’avais déjà une petite idée…
    On a pu découvrir une culture différente à la nôtre. Bref, ce livre nous a permis de voyager autour de son pays. J’ai bien aimé que le livre soit sous forme de journal intime. C’est original. Ce qui est à la fois à la fois intéressant et important, c’est que l’on découvre la situation politique de son pays. Même si là aussi j’avais déjà une idée de comment elle était. Elle est marquée par la guerre et l’injustice.
    Ce livre nous permet aussi de nous rappeler la chance que l’on a, même si le personnage principal, je pense fait partie des « privilégiés ».
    Je me suis rendu compte qu’en Syrie et ailleurs, « l’argent ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval ». J’emploie cette expression car il y a un passage où l’on apprend que le personnage principal doit travailler, sinon « l’hiver sera difficile ». Et c’est là que je me rends compte que la situation dans laquelle il est lui et sa famille, n’est pas si « confortable » que ça… Pour résumer, j’ai bien aimé ce livre car il nous permet à la fois de voyager et de nous informer en même temps du mode de vie en Syrie.

  3. Moi, je trouve que ce livre n’est pas forcément l’un des meilleurs car malgré toute la longueur du livre, la plupart des scènes étaient répétées. Donc, parfois cela m’ennuyait, car à un moment la scène ne m’intéresse plus. Sinon, j’aime bien le fait que ce livre soit écrit comme un journal intime car c’est quelque chose que je n’ai pas souvent vu, donc ça me fait changer de type de livre.
    Je trouve l’histoire intéressante car le fait de suivre la vie d’un garçon qui veut devenir « journaliste » alors que son père, par exemple, ne veut pas, cela reste donc, un peu comme du suspense. Je trouve, en plus, que ce livre a une bonne morale, le fait de toujours croire en ses rêves, malgré tout ce qui peut se passer entre-temps. Donc au final, je ne trouve pas ce livre « génial », mais il est quand même bien.

    SECQ Tristan (4ème4)

  4. J’ai vraiment apprécié le livre car on y retrouve de l’humour, de la tendresse de la tristesse mais également de la joie. C’est une recette parfaite qui attirent notre regard, notre attention et notre curiosité. Ce livre est à la fois simple et compliqué pour comprendre le message qu’il reflète.

    Pendant trois longues années, un jeune garçon, fils d’un modeste Boulanger de Damas décide de tenir son journal (ou carnet de bord). Ce fils de boulanger, épris de justice, de savoir et de liberté, souhaite devenir un jour journaliste ; contrairement à son père qui veut que son fils reprenne « l’entreprise familiale ». Il est également amoureux secrètement (ou non) d’une jeune fille de son âge : Nadia. Tout au long de son aventure il découvre vite l’injustice de son pays et de ses inégalités.

     » Il était une fois un oiseau qui vivait en Orient dans une cour ombragée… »
    Une sage lettre qui donne espoir : L’oiseau s’envole tout comme les mots de l’adolescent, avec la complicité de ses amis, ils tentent de diffuser et de dénoncer à travers le pays et l’au-delà toutes les injustices et inégalités de droits de ce pays.

    L’histoire de ce livre est vraiment très intéressante, c’est un roman de jeunesse mais je le conseil également aux adultes car il montre la vie et ses conditions dans les pays avec beaucoup d’inégalités.

  5. Grandiose ! A la fois drôle, tendre, instructif, révoltant et émouvant
    Ce livre est très instructif concernant la situation politique et sociale de ce pays, car au travers de ses écrits il nous décrit des persécutions faites à certaines communautés religieuses, ainsi que celles faites à ceux qui dénoncent les abus du gouvernement en place.
    On suit les observations et réflexions de cet adolescent par le biais de son journal intime, rédigé entre ses quatorze et dix-sept ans. Le jeune homme mûrit, ses résolutions s’affirment, tandis que se dégrade la situation de son pays, jusqu’alors riche de la diversité culturelle
    Un touchant récit de jeunesse parlant de quête d’identité, d’engagement, de lutte contre les injustices sociales, humaines, contre un pouvoir en place dictatorial et répressif.
    Une petite histoire dans la grande, une vie de quartier, des relations familiales, une galerie de personnages, aussi épiques qu’émouvants, auxquels l’on s’attache très vite et desquels l’on se sent proche. Un langage intimiste, simple, épuré, intemporel.
    L’auteur a parfaitement su se mettre dans la peau d’un jeune homme, au regard à la fois lucide et naïf. Humour, tendresse et tragique sont savamment dosés, et ce dans un style très agréable.
    Un témoignage intéressant sur le quotidien des Syriens de toutes origines, à une époque difficile pour la majorité de la population, mais dans un pays que la guerre civile ne ravageait pas encore.

  6. Une poignée d’étoiles de Rafik Schami

    La couverture ne nous donne pas d’indications sur l’histoire.
    Sous forme de journal intime, cet ouvrage est simple à lire. On peut s’arrêter à n’importe quelle date sans perdre le fil de l’histoire.
    Ce journal raconté par un jeune homme se déroule à Damas, une ville de Syrie.
    Cette histoire ne paraît pas être de notre époque.
    On peut à travers son récit comprendre que sa vie n’était pas facile et certaines situations le marquera pour toute sa vie. Son oncle Salim est quelqu’un qui a beaucoup compté.
    Il est très bon élève et souhaiterait pouvoir travailler longtemps à l’école. Malheureusement, son père lui fait quand même arrêter l’école pour tenir avec lui sa boulangerie. Grâce à sa détermination, il arrivera malgré tout à faire ce qu’il a envie : devenir journaliste.
    Ce livre a une morale : Lorsque l’on veut obtenir quelque chose, il faut se donner les moyens pour y arriver.

  7. Ce journal intime d’un adolescent de Syrie nous fait découvrir quelques années de sa vie, et son pays dans la seconde moitié du XXème siècle.
    Il rêve de devenir journaliste, alors que son père voudrait qu’il soit boulanger, comme lui.
    De fait dans ce pays, témoigner de la réalité et donner son avis publiquement peut s’avérer très dangereux.
    Le garçon rêve aussi de Nadia, une jeune fille de son âge.
    L’auteur a parfaitement su se mettre dans la peau d’un jeune homme, au regard à la fois lucide et naïf.
    Ce livre fait preuve d’humour, tendresse et tragique sont savamment dosés, et ce dans un style très agréable.
    Un témoignage intéressant sur le quotidien des Syriens de toutes origines, à une époque difficile pour la majorité de la population, mais dans un pays que la guerre civile ne ravageait pas encore.
    Il s’agit d’une édition jeunesse. Cette lecture est accessible dès 14 ans, mais les adultes y trouveront aussi leur compte.
    J’ai trouvé le livre très agréable car l’auteur a pris soins de bien mettre chaque détails de l’histoire de ce jeune homme, pour que le lecteur puisse se mettre dans la peau du personnage.
    Dans ce livre la taille et le nombre de page peux sembler inquiétant pour ceux qui n’aiment pas trop lire mais sa en vaut le peine car l’histoire est très belle et elle mérite d’être lue .

  8. Je trouve que c’est un livre très intéressent.J’ai remarque plusieurs choses qui m’ont fait penser a d’autres livres,ce livre me fait penser a « Le journal d’Anne Franck »et « No et Moi »car c’est rédige sous forme de journal mais également on attache au personnage mais aussi on connais sa vie donc on comprends les choix et les actes du personnages.Ce livre me donnais beaucoup d’émotions de tristesse car par exemple il souhaite être journaliste mais son père refuse il veut qu’il reprenne l’entreprise familiale (tout ses rêves sont réduit a néant).Je met la note de 8/10 car je trouve que cette histoire est très réaliste mais également tres émotionnelle.

  9. J’ai bien aimé ce livre car il nous apprend des choses sur le mode de vie et la culture des habitants d’un autre continent,en Syrie. Un quotidien rythmé par la guerre,l’amitié et l’amour. Ce livre exprime la fraternité et la solidarité. Dans un pays ou la liberté d’expression n’est pas possible des adolescents mènent une révolte contre le nouveau régime politique syrien qui impose la censure. Heureusement que son meilleur ami sait donner des conseils sages et parsemé de poésie au personnage principal. Ce livre nous véhicule plusieurs émotion tel que la joie, l’empathie et la tristesse. Une chose qui a retenu mon attention est la capacité à partager même dans des une situations de pauvreté chacun des personnages ont toujours une attention envers les personnes qu’il aime. Le personnage principal nous montre que croire en soi peux porter ses fruits nous donne une certaine maturité car cet histoire nous affirme que le travail est primordial pour arriver à ses fins. Le travail et le partage sont deux choses que pas mal de personne oublie a force de vivre dans un environnement facile où dés que nous avons envie de quelque chose nous l’avons immédiatement sans le moindre effort. Chacun prend le livre comme il le souhaite mais c’était ma critique de ce livre.

  10. Une poignée d’étoiles raconte la vie d’un jeune Syrien qui tient son journal intime pendant quelques années. Il est issu d’une famille modeste mais rêve de devenir journaliste bien que son père veuille qu’il soit boulanger comme lui. Il se questionne sur sa vie, son avenir et celui de son pays. Là bas les journalistes sont très mal vus par le pouvoir, car ils dénoncent les injustices et les inégalités. Il va alors essayer par tous les moyens de publier ses journaux au péril de sa vie .
    C’est un beau récit sur la vie syrienne, sur la difficulté de dire la vérité dans un pays où règne la dictature.
    Manon DELAS 4°4

  11. Ce livre m’a beaucoup plu car il est écrit à la manière d’un journal intime. L’auteur c’est bien mis à la place de ce garçon puisque qu’on aurait vraiment que c’était un adolescent qui écrivait. Dans ce journal j’ai aimé la manière dont c’était écrit car on avait l’impression d’être là-bas, avec eux. Je trouve aussi que c’est une belle « métaphore » pour nous montrer que dans certains pays/ villes, tout le monde ne pouvait pas être ou faire ce qu’il voulait. En l’occurrence, ce jeune adolescent veut être journaliste. Et au cours de ces trois années raconté, il se rend compte (et nous aussi) des injustices humaines. Malgré plusieurs obstacles, il n’abandonne jamais son envie d’être journaliste. Cette histoire nous plonge dans les quartier pauvre de Damas, et nous fait rencontrer ses amis et sa famille qui étaient très important pour lui. Il aimait également faire «régner la justice » avec ses deux copains Mahmud et Joseph, ils créèrent une bande La main Noire. Mais il nous a également dévoilé ses sentiments pour Nadia une fille de son quartier. Il nous fit part de ses résultats et de ses professeurs préférés au collège. Comparé à ce qu’on peut penser en voyant la taille du livre, ce livre ce lit rapidement car il est simple est intriguant. Et je trouve que ce livre permet de nous dire que nous avons de la chance de pourvoir faire ce que nous voulons plus tard alors que certains enfants n’ont pas cette chance.

  12. J’ai beaucoup aimé ce livre car ça montre la vie en Syrie, qui est difficile et c’est fait avec humour. Au début le père du personnage principal veut qu’il devienne boulanger (car il est boulanger), mais lui il ne veut pas. Tout le monde veut qu’il devienne boulanger. Je pense qu’il a le droit de faire ce qu’il veut et ce qu’il lui plait, heureusement que son père change d’avis et qu’il lui dit qu’il peut faire ce qu’il veut. J’ai beaucoup aimé le concept de journal chaussette : c’était marrant. J’aimais beaucoup son oncle (son meilleur ami), il était drôle. Il racontait toujours des histoires, tu savait pas si c’était vrai ou pas mais c’était drôle.

  13. Pour commencer je ne savais pas à quoi m’attendre étant donné que la couverture est assez simple et que l’on ne sait pas grand chose sur la ville représentée.
    Par rapport à l’histoire j’ai beaucoup aimé que ce soit un roman sous forme de journal et donc qu’il n’y est pas de chapitres, je trouvais que cela donnait un effet comme si le journal ne s’arrêtait jamais. J’ai apprécié qu’il y est pleins de personnages avec des personnalités différentes et que l’on puisse s’identifier à chacun d’eux mais aussi que l’on puisse en savoir davantage sur la situation politique et sociale du pays à travers le journal.
    Par contre, j’ai trouvé qu’au début il ne se passait pas beaucoup de choses importantes et utiles pour la suite. J’aurai également voulu en savoir plus sur la situation de Habib à la fin.
    Sinon le le reste de l’histoire m’a plu et dans l’ensemble j’ai bien aimé ce livre.

  14. J’ai bien aimer car c’est présenter en journal intime donc il n’y à pas de grand texte donc plus rapide a lire ,l’histoire a un ordre d’abord la présentation des personnage,description de la maison et l’école,sa vie et puis l’histoire commence . L’histoire est plus dure que son nom (une poignée d’étoiles) du moins au début.
    Ce que je n’ai pas aimer c’est que c’est trop précis se qui allonge l’histoire donc c’est un peu plus long a lire.

  15. J’ai moyennement aimé ce livre car j’ai trouvé le début plutôt long et ennuyeux mais il est devenu plus passionnant vers la fin. J’aime bien le fait que se soit écrit comme un journal. On à vraiment l’impression de l’avoir trouvé comme si celui qui l’écrivait l’avais perdu et que nous le lisions par la suite, ça fait réaliste. Je trouve que le journal chaussettes est vraiment une bonne idée et c’est ce que j’ai préféré dans ce livre. Les héros sont courageux de faire ça car ils s’opposent au gouvernement. Mais je trouve la fin triste car le grand-père du héros meurt et ensuite Habib se fait prendre. Je n’ai pas trop aimé cette fin car ça se termine d’un coup en suspense et on ne sait pas ce qu’il va arriver à Habib mais je pense qu’il y aura sûrement une suite.

  16. Après avoir lu ce livre, je me suis rendu compte qu’il était très ennuyeux, long, et totalement inintéressant à lire.
    Je ne comprends pas pourquoi ce livre s’appelle « une poignée d’étoiles », ni de ce qu’il a de fictif,
    et ni de ce qu’il y a d’intéressant dans ce livre, vu que c’est seulement l’histoire d’un fils de boulanger
    qui raconte sa vie en écrivant dans son journal parce qu’il s’ennuie à la boulangerie en attendant la fin de la journée
    pour rentrer chez lui.
    Pour moi, le pire passage a été quand Afifa a dit à sa fille que oncle Salim est mort,
    parce qu’il avait oublié de respirer pendant la nuit ( ça ne se fait pas, c’est trop méchant),
    et quand ils détruisent les maisons des voisins parce que ça ne se fait vraiment pas et c’est super méchant, et aussi quand
    la police a prit Habib pour le mettre en prison alors qu’il n’avait rien fait.
    Quand j’ai fermé le livre je n’ai quasiment rien retenu à part que la police n’avait aucune pitié.
    Je pense que la suite de ce livre va être que la personne qui écrit le journal et qui a inventé
    le journal-chaussette va devenir journaliste et va être connu dans le monde entier et, il va se faire arrêter par la police parce que la fabrique de chaussette va porter plainte parce qu’il leur a menti pour les faire travailler deux fois plus qu’avant, pour qu’il ait ses chaussettes pour ses journaux. Donc tout le monde va être content sauf lui.
    Qui va être trop triste de s’être fait arrêter pour avoir demander à l’entreprise de travailler deux fois plus.
    Je pense aussi que les amis d’Habib vont réussir à le sortir de prison et donc tout le monde va être content. Ce livre montreque la force des idées l’emporte sur la force des armes, et qu’on ne peut pas enfermer les idées de liberté.

  17. J’ai lu Une poignée d’étoiles de Kafik Schami.
    Ce livre est un roman écrit sous forme de journal intime. La version originale est parue en 1987 et la version que j’ai lue, en 2016.
    Ce livre raconte l’histoire d’un jeune fils de boulanger âgé d’une quinzaine d’années qui vit avec son père, sa mère, sa sœur Leila et son oncle nommé Salim. Il raconte ce qu’il se passe dans son quartier de Damas.
    Il explique par ecrit sa vie au quotidien de manière détailler et avec du recul. Mais par contre je pense que cela est trop long donc le récit devient ennuyeux alors que le sujet est intéressent.
    Il explique aussi qu’il compte atteindre son rêve de devenir journaliste pour révéler la vérité.
    Il décrit aussi les personnages qui possèdent chacun une personnalité différente, plus extravagante, calme, enthousiaste…
    Ce qu’il ne m’a pas plu dans ce livre c’est que l’on ne sache pas le nom du narrateur même si cela donne un effet plus réaliste, et de plus on ne connait pas l’année ou se passe l’histoire. De plus l’intrigue du livre met du temps à se développer. En effet pour moi le livre devient vraiment intéressent vers la page 147 qui est le milieu du livre, car le narrateur fait la rencontre d’un personnage.
    En revanche j’apprécie le style d’écriture de l’auteur car elle est légère, assez fluide et réaliste donc caractéristique de la rédaction d’un enfant, ce qui permet de raconter la vie politique et sociale en Syrie de façon différente.
    Les personnages possèdent chacun une personnalité différente, plus extravagante, calme, enthousiaste…
    J’ai aimé ce livre car il est bien rédigé et même si ce type d’histoire ou d’écriture n’est pas nouveau, ce livre reste différent.
    Je vous laisse découvrir la fin.

  18. C’est le journal intime tenu pendant trois ans par un adolescent syrien, fils d’un modeste boulanger, épris de justice, de savoir et de liberté, et qui rêve de devenir journaliste… Il nous fait découvrir quelques années de sa vie. Son père voudrait qu’il soit boulanger, comme lui, se qui n’est le cas. De fait dans ce pays, témoigner de la réalité et donner son avis publiquement peut s’avérer très dangereux .Le garçon rêve aussi de Nadia, une jeune fille de son âge. J’ai bien aimé ce livre car c’est une petite histoire dans la grande, une vie de quartier, des relations familiales, une galerie de personnages, aussi épiques qu’émouvants, c’est ce que j’ai retenu en grande partie. Ce livre pour moi n’a pas de défaut flagrant a première vu avec des scènes très intéressent.

  19. Au début du livre, je me suis dis que j’allais prendre longtemps à le lire, mais je vis que c’était sous forme de journal intime (une chose que j’aime pas mal). Je commence le livre, j’aimais bien, il nous raconte qu’il vit dans une toute petite maison avec son père, sa mère, sa sœur dans la ville de Damas, il nous raconte un peu la pauvreté de cette ville. On apprend également que son père est boulanger et sa mère est mère au foyer. Et surtout qu’il a un rêve devenir journaliste pour dénoncer le manque de liberté d’expression. Je voulais savoir comment ce livre allait se terminer. Son père ne voulait plus qu’il aille à l’école, j’étais triste pour le narrateur. Un jour on apprit que le petit garcon voulait quitter sa ville et toute sa famille pour aller vivre seul son rêve. Je me suis dis qu’il prenait la mauvaise décision car il ne pourra jamais vivre seul dans une ville loin de ses proches. Mais c’est là, pendant sa tournée pour livrer le pain qu’il rencontra en premier Myriam puis Habib. J’étais super content enfin un rebondissement qui va dans le sens du narrateur. Puis arriva un jour qui changea la vie du jeune garçon, le jour où ses premières poésie parurent dans un livre. J’étais trop content pour lui et c’est là aussi où son père décida que son fils n’était pas fait pour le métier de boulanger et qu’il le laisser faire ce que bon lui semble. YES! Dans la suite du livre, il allait régulièrement chez Habib qui lui apprit les bases de l’écriture et du journalisme. Le narrateur apprit aussi que la liberté d’expression était compliquée à Damas. En écrivant un article, si vous n’êtes pas dans le sens du gouvernement vous pour allez en prison. Je trouve cela triste de ne pas pouvoir exprimer ses opinions librement. C’est pour cela qui le narrateur, Habib et Mahmud ( un copain du narrateur) créèrent le journal-chaussette. Un journal qui sera diffusé à travers les chaussettes vendues par Mahmud et son copain. C’est une très bonne idée je pense car cela permet de dénoncer et de critiquer les problèmes du pays tout en restant anonyme et discret. Pour finir j’ai adoré le live, il dénonçait pleins tout les problèmes de Dmas, et c’est là où on se rend compte des différences entre Damas et la France. Le narrateur à en fin réaliser son rêve.

  20. Je n’ai pas aimé le début de l’histoire, j’ai trouvé qu’il n’y avait que peu d’action parce que l’auteur met trop de temps pour expliquer (environ 50 pages) l’histoire du personnages principal : sa vie familiale, sa relation amoureuse, ses liens avec ses amis … et l’auteur ne donne pas le prénom de ce personnages. En terme d’émotions, elles sont très peu, voire pas du tout exprimées car à part sa relation amoureuse, il ne nous donne pas, ou peu, d’informations personnelles sur ses passions, ses goûts …
    J’ai bien aimé la fin de l’histoire en raison de l’effet de surprise (mort de son meilleur ami, la guerre en Syrie … J’ai bien aimé l’originalité de sa communication pour se faire connaître : la distribution aérienne de ses premiers articles en tant que journaliste lui permettant de se faire connaître plus rapidement. J’ai apprécié sa maturité lorsqu’il parle des sujets politiques liés au comportement des autorités dans la gestion de la guerre.

  21. Dans l’ensemble j’ai bien aimé ce livre, je l’ai trouvé bien écrit avec parfois un peu d’humour. Par contre je me pose encore deux questions ;  » Pourquoi ce titre ?  » et  » Comment s’appelle le narrateur ? « .
    Au début je trouvais le livre ennuyeux car il ne se passait pas grand chose. Le narrateur nous racontait des anecdotes qui, je trouvais, n’avaient rien à voir les unes avec les autres. Je trouvais ça intéressant mais j’espérais qu’il se passe quelque chose. J’ai également eu du mal à m’imaginer l’environnement dans lequel se déroule l’histoire étant donné que celle-ci se passe dans un pays très différent du nôtre.
    Ce que j’ai trouvé étonnant dans ce livre c’est qu’un adolescent de 15 ans soit autant ami avec Oncle Salim ( personne âgée ) et Mariam ( ayant à peu près la quarantaine ), qu’avec des personnes ayant le même âge que lui.
    J’ai aussi remarqué que dans leur pays il y avait beaucoup moins de libertés qu’en France. Dans ce livre, on parle surtout de la liberté d’expression dans le journalisme qui est presque interdite.
    Sinon j’ai trouvé que c’était un très beau livre, un peu triste parfois, mais tout de même très intéressant. On voit et comprend comment des personnes sacrifieraient leur vie pour obtenir des libertés pas encore acquises dans leur pays.

  22. CRITIQUE « LE PHOTOGRAPHE »
    Ce roman mélange du texte, des photographies et des dessins et relate 8 expéditions de Didier Lefèvre, photographe en Afghanistan auprès de Médecins Sans Frontières entre 1986 et 2002, pendant l’occupation Russe.
    J’ai particulièrement aimé les photos qui sont très belles, elles m’ont fait découvrir l’Afghanistan où la guerre faisait rage. Certaines photos sont choquantes car elles montrent l’immense pauvreté, la destruction de la guerre et malgré cela on sent que les Afghans sont accueillants. Dans ce pays, la technologie n’est pas omniprésente comme chez nous, les conditions de vie sont très rudes et les habitants ont l’air solidaire, dans l’entraide.
    La condition de la femme dans ce pays est absolument désastreuse, elles sont réduites à l’état d’esclave. Le niqab que doivent porter les adolescentes et les femmes, même si elles ne sont pas d’accord, sert à détruire leur individualité afin qu’elles ne puissent pas penser différemment que ce que la société patriarcale leur dicte. Les photos sont plus frappantes que les dessins car on peut davantage s’identifier aux personnes et le travail du photographe reporter est de nous faire réaliser les conditions de vie dans les pays sous-développés, sous une domination dictatoriale qui engendre la pauvreté et dans ce cas-là en plus, la guerre par l’invasion des Russes.
    Le principe de la dictature est de cacher la vérité et sans la présence de photographes, de journalistes et des personnels soignants humanitaires, les véritables conditions de vie ne seraient connues du monde entier.

  23. CRITIQUE « UNE POIGNEE D’ETOILES »
    Ce roman réaliste est écrit sous la forme d’un journal intime qui dépeint la vision d’un enfant Syrien dans les années 50 évoluant au fil de sa vie. Je trouve que le livre est bien écrit et compréhensible avec une histoire attrayante mais le thème n’est pas mon domaine de prédilection ; je préfère toutes les histoires qui ne sont pas reliées à notre monde car notre humanité ne me fait pas rêver.
    Le narrateur grandi, devient adolescent et change brutalement sa vision du monde à la découverte de la dictature qui régi son pays et limite sa quête de savoir. Le régime dictatorial, par ses privations de libertés et les oppressions sur son peuple, a déclenché chez le narrateur et d’autres adolescents, l’effet inverse que celui recherché par le gouvernement. Sa quête de compréhension du monde et sa résistance à garder sa liberté de penser, se sont incarnées dans son désir de devenir journaliste.
    Ce récit d’il y a 70 ans est toujours très actuel, le monde a changé mais les mécaniques sont les mêmes c’est-à-dire que depuis que l’homme s’est sédentarisé, il y a toujours eu des individus cherchant à soumettre les plus faibles. J’ai aimé le courage du narrateur, sa combativité envers le destin qu’il lui était promis. Ses choix personnels : devenir journaliste et ne pas être boulanger comme son père, braver les interdits dont les conséquences s’aggravent au fur et à mesure qu’il réalise ses rêves, font de lui un Fort. Son oncle Salim a été une personne décisive dans sa vie, sans lui il ne se serai peut-être pas autant battu pour réaliser ses rêves. Cela me fait penser que les enfants et les adolescents doivent avoir une personne inspirante qui croit en eux pour réaliser leurs rêves. Salim est un exemple pour lui, il lui a raconté beaucoup d’histoires qui ont inspiré le combat du narrateur pour lutter contre les injustices et ne pas être soumis comme ses milliers de compatriotes.

  24. Bonjour, voici mon ressentit suite à ma lecture du livre « Une poignée d’étoiles » :

    Mes sensations après avoir lu ce livre sont diverses.
    J’ai bien aimé ce livre car le style d’écriture est sous forme d’un journal intime/de bord, cela permet de se sentir proche du personnage et de le suivre au jour le jour.
    L’histoire dure environ 3 ans soit une grande période de sa vie.
    Il y a de l’émotion.
    Ce livre m’a permis de connaitre la situation des enfants en Syrie et de sa population, à travers les yeux de cet enfant. L’auteur montre la situation politique, sociale et économique de la Syrie.
    J’ai trouvé le père injuste avec son fils.

    Conclusion : le livre est bien.

  25. J’ai beaucoup aimé ce livre. L’idée de l’écrire sous la forme d’un journal intime est une bonne idée, car on a l’impression de le connaître personnellement. « Une poignée d’étoiles » nous apprend à connaître la vie des jeunes à Damas. Les personnages principales sont touchants et amusant. Le fils du boulanger qui est le propriétaire du journal nous fait découvrir sa vie et ses proches. Il voit le monde d’une manière différente de celle de son père. Et refuse de travailler à la boulangerie, mais il finit par travailler avec son père. Il finit par créer son propre journal dans lequel on ne dit que la vérité.

  26. Ce livre parle d’un enfant qui vie a Damas.Un jour en rentrant chez lui, il décide d’écrire un journal, dans lequel il raconte ses journées, des anecdotes et ses sentiments. Après avoir discuter avec son meilleur ami l’ oncle Scolim , il décide de devenir journaliste, mais son père qui est boulanger souhaite qu’il reprennent la boulangerie familiale et qu’il arrête l’école. Toute fois il est bien décidé à réaliser son rêve, devenir journaliste malgré la restriction de son père. Il écrit aussi des poèmes, un jour son professeur d’arabe les à lu et lui a conseillé de les envoyés à un éditeur pour être publier dans un recueil pour enfant. Ce jour là son père a était de lui malgré ses réticences, je crois qu’il ne pensait pas son fils capable de cela. Pendant qu’il distribuer du pain pour son père il rencontra Habid, avec lui et son ami Mahmud il décida de rédiger un journal qu’il distribue rond en toute discrétion, au début par la vente de chaussette, puis en faisant exploser un ballon dans les airs pour que le vent ce charge lui même de les distribués. Personne ne doit savoir que c’est eux.

  27. Ce livre est plein de surprises, il est étonnant, c’est très bien écrit. On s’accroche vite à l’histoire, c’est difficile de s’arrêter de lire. Le livre passe par toutes les émotions, on s’attache vite aux personnages. On voit le personnage principal évoluer sur les 3 ans. On ressent les émotions du personnage. Le passage de la mort de son ami est triste. Leur relation était forte. J’aimais les histoires qu’il racontait. Il est très courageux d’exposer la vérité. Il a suivi son rêve d’être journaliste malgré le désaccord de son père qui l’oblige à travailler à la boulangerie.Il a su lui tenir tête. La scène où on nous apprend qu’ils ont tué un coq m’a un peu choqué. En conclusion cette histoire est une très bonne histoire que j’ai apprécié lire.

  28. pour moi le livre une poignée d’étoile est un bon livre parce que l’on suis la vie du personnage de A à Z et j’ai trouvé ça original.
    Dans le livre il y a un enfant fils de boulenger qui veux devenire journaliste mais sont père si opose jusqu’a qu’il vois se qu’il ecrit .
    se livre parle a la fois de politique de liberter tout en tantan de garder de l’humour , le livre decris aussi les condition de vie qu’il y a à damas
    ce roman et bien ecrit on comprend bien l’histoire mais aussi ce qu’il a pousser a devenir journaliste

  29. Une poignée d’étoiles

    Une poignée d’étoiles est un journal intime tenu par un adolescent de Damas en Syrie, il permet de dénoncer la situation politique se son pays. Un pays sans libertés, avec une repression de toute opposition trop importante. Je l’ai trouvé très courageux de vouloir dénoncer cette réalité en voulant devenir journaliste. Je me suis rendu compte que les cultures dans différents pays peuvent être très différentes. Je trouve injuste que l’école ne soit pas obligatoire ( même si à cette péride c’était pareil en France ). Je trouve vraiment dur le fait que les enfants n’aient pas forcement le choix de leur avenir et peuvent être obligé de travailler très jeune. C’est un livre d’amour et d’amitié plein d’humour et de tendresse mais aussi tragique. Ce livre m’a aussi permi de me renseigner sur les droits et les libertés en Syrie en ce moment et cel n’a pas beaucoup evolué depuis les années 50.

  30. J’ai bien aimé ce livre car il nous apprend que si on veut faire un métier, il ne faut pas abandonner ni se laisser décourager, il faut continuer à travailler pour réussir. Je trouve que les histoire qu’Oncle Salim raconte sont vraiment bien et très instructives. C’est dommage que son père l’ai retirer de l’école car pour être journaliste ça aide. Surtout que son père est content de ce que son fils écrit, il pourrait le remettre à l’école pour qu’il en apprenne davantage sur le journalisme. Il se plaint de l’a boulangerie de son père mais s’il n’y avait pas travaillé, il n’aurait pas rencontré Mariam et Habib. Il n’aurait pas appris à bien écrire un journal si Habib ne lui avait pas enseigné toutes les techniques. J’ai vraiment bien aimé ce livre mais je pense que l’auteur aurait mettre le nom du narrateur.

  31. Une poignée d’étoiles
    de Rafik schami
    Le livre était un peu long et en plus que ce soit rédigé sous forme de journal intime fait qu’il y avait des passages qui apportaient des détails sur sa vie ,qui pour moi ne servaient à rien.
    Je n’ai pas compris la couverture et le titre du livre car ,je ne trouve pas de rapport avec l’histoire , ce qui est dommage. Par contre j’ai apprécié que la police soit écrite à l’ordinateur car j’ai réussi à lire facilement comparé au Photographe où j’ai eu du mal, mais j’aurais mis une police écrite à la main car ça aurait fait plus journal. Il y a des choses que je n’ai pas compris, comme le moment où le père du personnage principal va en prison,on ne sait pas pour quoi, et les passages avec l’homme à l’oiseau. Je n’ai pas aimé le fait qu’il y ai des personnages qui apparaissent
    mais qui n’apportent rien, ce n’était pas bien. Comme le Photographe, je n’ai pas appréciée la fin car ça fini sur ce qu’ils vont faire pour sauver Habib, j’aurai préféré qu’ils le sauvent et qu’ils renversent le gouvernement. Du coup il va falloir imaginer la suite. Par contre je crois que l’on ne sait pas le nom du personnage principal et je trouve ça bizarre qu’il n’y soit pas, mais je pense que c’est normale de la part de l’auteur car mon hypothèse est que tout le monde peut tenir ce journal, tout le monde peut avoir cette vie. le livre n’était pas super mais au moins il m’a fait réfléchir sur deux choses: leur manière de vivre qui est très différente de la notre car ils travaillent jeunes ,ils ne vont pas forcement à l’école, ils vivent avec tout les générations de la famille dans la même maison, et le gouvernement Syrien car c’est une dictature et il change tout le temps à cause des putsch (coup d’état). Cette réflexion est une bonne chose car je pense que l’auteur a écrit ce livre pour ça.

  32.  » Un poignée d’étoiles » est un livre totalement différent , de ce que l’on a déjà lu en cours. J’aime bien le fait que le roman soit présenté
    comme un journal intime. Ce livre raconte l’histoire d’un adolescent qui vit en Syrie , son père veut qu’il devienne boulanger mais ce métier ne lui plait pas . Il aimerait être journaliste , son père n’est pas d’accord donc il décide de l’enlever de l’école. Mais l’adolescent garde espoir et rencontre Habib un journaliste , mais au début Habib lui déconseille de devenir journaliste et finalement il l’encourage. L’adolescent et son ami ont donc décider de faire un journal ensemble.

  33.  » Un poignée d’étoiles » est un livre totalement différent , de ce que l’on a déjà lu en cours. J’aime bien le fait que le roman soit présenté
    comme un journal intime. Ce livre raconte l’histoire d’un adolescent qui vit en Syrie , son père veut qu’il devienne boulanger mais ce métier ne lui plait pas . Il aimerait être journaliste , son père n’est pas d’accord donc il décide de l’enlever de l’école. Mais l’adolescent garde espoir et rencontre Habib un journaliste , mais au début Habib lui déconseille de devenir journaliste et finalement il l’encourage. L’adolescent et son ami ont donc décider de faire un journal ensemble.

  34. Critique du livre : « Une poignée d’étoiles  »

    Une poignée d’étoiles est un très beau livre. Contrairement à la taille du livre il se lit assez rapidement.
    Pourtant avant de lire, j’étais assez démotivé à l’idée de lire un livre de 300 pages environ.
    Ce journal intime nous plonge dans le livre et nous donne l’impression de vivre avec ce jeune garçon de 14 ans. Ce garçon est un peu le contraire de notre époque, un garçon à l’écoute, il est toujours intéressé par de que dit son ami Oncle Salim (Oncle Salim me fait un peu penser à un sage, une personne qui peut être considéré comme un modèle ). Nous à notre époque, nous sommes centrés sur notre téléphone et nous nous intéressons moins à la vie d’aujourd’hui.
    Ce garçon n’a malheureusement pas la chance de pouvoir faire son rêve (être journaliste ) dans lequel il est très impliqué. Je trouve ça vraiment injuste que des garçons comme lui, impliqué et volontaire ne puisse pas réaliser leurgent rêve.
    C’est pour cette raison que nous qui avons la chance de pouvoir faire le métier qu’on veut, l’avenir que l’on souhaite devons prendre conscience de la chance que nous avons.
    Dans ce journal intime il y a des anecdotes assez marrantes comme le passage où il raconte qu’avec Joseph il se raconte chacun leurs tour ce qui s’est passé à l’église le dimanche pour ne pas y aller.
    Une phrase m’a beaucoup marqué et inspiré : « Je n’ai pas pu avaler un morceau (de brochettes). J’ai partagé les brochettes, deux chacun, et j’ai fait serment de ne rien manger tant que ma mère n’aurait pas pris elle aussi sa part. » Cette phrase est un très belle exemple de partage.
    J’ai beaucoup aimé ce suspense que Rafik Schami réussissait à mettre, dans le journal intime un jour il nous racontait un fait marquant mais il ne le finissait pas et nous obligeait de continuer de lire pour savoir la fin du fait marquant (qu’il nous racontait quelques jours après ).
    Rafik Schami a été très fort pour réussir à se mettre dans la peau d’un garçon de 14 ans, on aurait vraiment dit que c’était le journal intime d’un garçon de 14 ans.
    J’ai beaucoup aimé ce livre ,il fait beaucoup relativiser et nous fait prendre conscience de la chance que nous avons de pouvoir choisir notre avenir/métier.

  35. Pour ma part, j’ai moyennement apprécié ce livre. Je l’ai trouvé long et ennuyant a lire.
    J’en ai apprécier sa morale « Poursuivre ses rêves » et aussi la manière dont il est écrit (sous forme de journal intime).
    Il y a des passages tristes, émouvant et choquant. Jusqu’à la fin on ne sait pas si il deviendra journaliste.
    Le livre « une poignée d’étoiles » de Rafik Schami ne fait pas partie des livres que j’aime lire.

  36. Le livre une Poignée d’etoile je suis pas fan de ce genre de livre sous journal intime . le livre est beaucoup trop long pour ce genre de livre , le suspense arrive trop tard dans son livre . J’ai cree un resume pour le livre UNE POIGNEE D’ETOILE : Le fils d’un boulanger de damos tient son journal intime qui raconte toute sa vie chaque jour . Nadia : la jeune fille qu’il aime , Selim : qui se mele sans cesse dans ses ecrits le mythe et la realité . Mais surtout il decouvre la situation politique de son pays marquée par l’injustice . l’absence de liberté et la représentation de toute opposition . Il veut devenir un journaliste .

  37. Mon avis sur le livre « une poignée d’étoiles »

    Une poignée d’étoiles est le roman que j’ai le plus préféré depuis le début de l’année.
    Il est trés facile à lire car c’est écrit en grosses lettres et il n’y a pas beaucoup de mots difficiles à comprendre.
    Ce qui m’a le plus plu, c’est de voir que ce jeune garçon fait de tout son possible pour devenir journaliste malgré que son père l’oblige à faire le même travail que lui c’est-à-dire boulanger car son père ne croit pas qu’il peut être journaliste.
    Grâce à ce livre, j’ai pu me rendre compte comment vivaient les Syriens au coeur de la ville de Damas car leur qualité de vie est plus difficile que la nôtre.
    J’ai beaucoup apprécié aussi que ce livre soit un journal intime car on peut suivre presque tous les jours la vie du jeune Syrien pendant trois ans.
    Par contre, c’est dommage que l’écrivain n’est pas donné un nom au jeune Syrien.
    J’ai aussi bien aimé l’oncle Salim car ces histoires étaient drôles mais je n’ai pas aimé quand il meurt.
    J’ai detesté quand Habib s’est fait arrêté pour avoir été complice du journal chaussette surtout quand la police l’ont frappé. Je trouve çà injuste.
    En résumé, ce roman de Rafik Shami m’a beaucoup touché avec ces 4 amies (Habib, Madmud,Nadia et le jeune Syrien) qui font tout pour défendre leur pays.

  38. Une poignée d’étoiles raconte la vie du fils d’un boulanger qui vit à Damas (en Syrie).
    Il va dabord nous présenter ses amis(Mahmud, l’oncle Salim et Joseph). Puis va nous écrire à propos de la fille qu’il aime (Nadia).
    On apprend aussi qu’il veut devenir journaliste, ayant même le talent pour. Il va petit à petit nous décrire la situation de son pays qui passe de régime politique en régime politique mais continue à vivre comme si de rien n’était. Il décide quand même avec deux autres amis de dénoncer la situation politique de son pays à travers un journal clandestin.
    J’ai trouvé ce livre très beau et vrai. Ce livre illustre très bien la jeunesse et la liberté. Ce livre ne va surement pas plaire à ceux qui aime les livres d’actions mais il vaut quand même la peine d’être lut. il nous permet de comprendre la situation difficile de la Syrie mais
    c’est surtout l’ignorance du danger des systèmes politiques différents chez le héro qui ma vraiment plus. Cela m’a permis de comprendre que même dépourvus de notre luxe de vie ou de notre chance de démocratie en France, on peut être heureux, même plus heureux que nous.
    Une poignée d’étoiles est un très beau livre que je recomdande très fortement de lire.

  39. Critique une poignée d’étoile :

    J’ai bien apprécié le livre car j’ai pu apprendre beaucoup d’informations sur le pays (la Syrie) surtout sur Damas, sa capitale, où vivent ensemble Musulmans, Chrétiens et Juifs.
    Par rapport à Damas, j’ai compris que le journalisme était mal vu car il n’y avait que le gouvernement qui pouvait publier les journaux. Je trouve cela irrespectueux par rapport à la liberté d’expression. C’est un gouvernement dictatorial qui n’autorise pas la liberté de la presse.
    Le fait que le personnage principal soit un jeune garçon à peu près de mon âge m’a permis de m’intéresser plus au livre. Ce jeune homme, fils de boulanger, tient un journal intime dans lequel il nous fait découvrir sa vie. Il rêve de devenir journaliste et fait tout pour y parvenir. Il prend beaucoup de risques en voulant publier ses journaux tout en sachant que si le gouvernement y tombe dessus, il pourrait être en danger. Je trouve cela admirable et très courageux de sa part.
    De plus la relation qu’entretien le jeune homme avec son oncle Salim est très émouvante et respectueuse, notamment avant qu’oncle Salim ne meurt, j’ai remarqué qu’il faisait entièrement confiance à son neveu, c’est assez touchant.

  40. Excellent travail. On voit que tu as pris l’habitude d’écrire des critiques de livres détaillées et approfondie. Bravo!

  41. « Il y a un truc qui m’a dérangé c’est que nous ne connaissions pas le nom du narrateur. »: Je pense que c’est fait exprès pour en faire un personnage « type » et aussi pour que le lecteur s’identifie davantage à lui.

  42. « On a pu découvrir une culture différente à la nôtre. Bref, ce livre nous a permis de voyager autour de son pays. J’ai bien aimé que le livre soit sous forme de journal intime. C’est original. Ce qui est à la fois à la fois intéressant et important, c’est que l’on découvre la situation politique de son pays. Même si là aussi j’avais déjà une idée de comment elle était. Elle est marquée par la guerre et l’injustice. »: oui c’est le coeur du livre. Cela nous donne aussi un point de vue moins « européen centré » sur le journalisme. Et cela montre également la chance que nous avons dans notre pays.
    Très bonnne critique très approfondie.

  43. Critique correcte mais ta partie résumé est un peu longue : »Pendant trois longues années, un jeune garçon, fils d’un modeste Boulanger de Damas décide de tenir son journal (ou carnet de bord). Ce fils de boulanger, épris de justice, de savoir et de liberté, souhaite devenir un jour journaliste ; contrairement à son père qui veut que son fils reprenne « l’entreprise familiale ». Il est également amoureux secrètement (ou non) d’une jeune fille de son âge : Nadia. Tout au long de son aventure il découvre vite l’injustice de son pays et de ses inégalités.

    » Il était une fois un oiseau qui vivait en Orient dans une cour ombragée… »
    Une sage lettre qui donne espoir : L’oiseau s’envole tout comme les mots de l’adolescent, avec la complicité de ses amis, ils tentent de diffuser et de dénoncer à travers le pays et l’au-delà toutes les injustices et inégalités de droits de ce pays »
    On aurait bien voulu savoir davantage les points précis que tu as aimés et cela de manière plus approfondie.

  44. Bonjour,
    Il y a des éléments de résumé mais c’est un peu long. Tu ne donnes pas ton avis sur ce livre et c’est ce qu’on cherche à savoir: ce que tu as aimé, détesté, offusqué etc…

  45. Critique correcte mais ta partie « résumé » est bien trop longue. Celle où tu donnes un peu ton avis doit être davantage expliquée, développée.

  46. Assez bonne critique. Il aurait fallu préciser des passages, donner des exemples précis.

  47. Bonne critique. Dommage que tu n’aies pas pris le temps de mettre des exemples précis qui auraient illustré tes arguments.

  48. Ton résumé est beaucoup trop long. Dans une critique, il s’agit d’avoir ton avis sur le livre en s’appuyant sur des détails et exemples précis.

  49. Excellente critique. Bon travail!

  50. Bonne critique appuyée sur des exemples précis.

  51. Très bonne critique s’appuyant sur des éléments précis du livre.
    « Par contre, j’ai trouvé qu’au début il ne se passait pas beaucoup de choses importantes et utiles pour la suite »: l’auteur a voulu nous aider à comprendre comment « évoluait » le personnage principal. Donc certains détails peuvent sembler insignifiants au départ, mais ils nous permettre de comprendre comment grandit et évolue le narrateur.

  52. Bonjour Ethan,
    ta critique est correcte mais certains éléments nécessitent une explication plus approfondie de ta part. En effet on ne comprend pas trop quand tu dis:
    « L’histoire est plus dure que son nom (une poignée d’étoiles) du moins au début. »
    ou
    « Ce que je n’ai pas aimer c’est que c’est trop précis se qui allonge l’histoire donc c’est un peu plus long a lire.  »
    Que voulais-tu dire par là?

  53. Bonjour Lalie,
    Bonne critique assez bien rédigée.
    « J’ai moyennement aimé ce livre car j’ai trouvé le début plutôt long et ennuyeux « : il était nécessaire pour l’auteur de s’attarder sur ce qui peut paraitre des « détails » pour comprendre comment évolue le personnage adolescent pendant ces 3 ans.

  54. Bonne critique même si certains de tes arguments sont très contestables.
    « Je ne comprends pas pourquoi ce livre s’appelle « une poignée d’étoiles », »: surement en référence à son rêve de devenir journalisme, espoir symbolisé par les étoiles
     » ni de ce qu’il a de fictif, »: ben il s’agit d’une histoire inventée, donc c’est fictif
    « et ni de ce qu’il y a d’intéressant dans ce livre, »
    « Je ne comprends pas pourquoi ce livre s’appelle « une poignée d’étoiles », ni de ce qu’il a de fictif,
    « Quand j’ai fermé le livre je n’ai quasiment rien retenu à part que la police n’avait aucune pitié. »: dans certains pays victime de dictature sévère, c’est le cas.
    et ni de ce qu’il y a d’intéressant dans ce livre, »: c’est un peu réducteur quand même

  55. Très bonne critique. Tu as bien fait de ne pas dévoiler la fin et de ménager le suspens ici « En effet pour moi le livre devient vraiment intéressent vers la page 147 qui est le milieu du livre, car le narrateur fait la rencontre d’un personnage. ».

  56. Critique pas très personnelle dis donc. Tu t’es un peu trop « appuyé » sur la critique de Rabane (qu’on trouve en ligne ici :https://www.babelio.com/livres/Schami-Une-poignee-detoiles/65402 ): »rabanne 15 mai 2018
    Un bien joli roman que celui-ci !
    C’est le journal intime tenu pendant trois ans par un adolescent syrien, fils d’un modeste boulanger, épris de justice, de savoir et de liberté, et qui rêve de devenir journaliste…
    Un touchant récit de jeunesse parlant de quête d’identité, d’engagement, de lutte contre les injustices sociales, humaines, contre un pouvoir en place dictatorial et répressif.
    Une petite histoire dans la grande, une vie de quartier, des relations familiales, une galerie de personnages, aussi épiques qu’émouvants, auxquels l’on s’attache très vite et desquels l’on se sent proche. »
    C’est décevant

  57. Excellente critique. Vraiment bravo!

  58. Très bonne critique Mathieu. « J’ai apprécié sa maturité »: c’est pour qu’on puisse cette maturité que l’auteur donne autant de détails au début. Cela nous permet de mieux comprendre comment le personnage s’est forgé une personnalité, et ses réflexions sur le monde.

  59. Excellente critique. On voit que tu as l’habitude d’en faire. Pour ce qui est de tes questions:
    « Pourquoi ce titre ? » » Je pense que les étoiles symbolisent son rêve de liberté d’expression et de presse. La poignée évoque cette volonté et l’espoir qu’a le narrateur de s’extraire de son milieu social d’origine pour pouvoir exercer le métier de ses rêves un jour.
     » et » Comment s’appelle le narrateur ? « »: on ne connait pas son nom. L’auteur ne le dit pas . Cela permet au lecteur de s’identifier encore plus à lui, en montrant que cela peut toucher chacun d’entre nous.

  60. Critique correcte mais vraiment pas assez personnelle. On ne sait pas vraiment ce que tu as pensé du livre…

  61. Bonne critique. Il faudrait approfondir certains de tes propos, justifier, expliquer davantage.
    Exemple: « J’ai trouvé le père injuste avec son fils. », « Il y a de l’émotion. »

  62. Bonjour Marine,
    Il faut donner ton avis sur le livre et ne pas seulement faire un résumé de l’histoire.

  63. Bonne critique. Attention à l’orthographe

  64. Bon travail.
    « mais je pense que l’auteur aurait mettre le nom du narrateur. » : pourquoi penses-tu cela?

  65. Très bonne critique.
    « c’est normale de la part de l’auteur car mon hypothèse est que tout le monde peut tenir ce journal, tout le monde peut avoir cette vie. »: très bonne hypothèse!
    « Cette réflexion est une bonne chose car je pense que l’auteur a écrit ce livre pour ça. »: oui

  66. Il aurait fallu développer davantage ton avis. C’est dommage!

  67. Critique correcte et qui a le mérite d’être franche. Cependant, il faudrait développer, justifier et donner plus de détails pour appuyer tes propos. Comme quand tu dis: « ennuyant a lire ». On aimerait savoir ce que tu as trouvé ennuyeux au juste, avoir plus de détail pour comprendre.

  68. Il faudrait développer davantage ton avis dans ta critique. Ta partie résumé est bien trop longue. Dommage!

  69. Bonne critique. Bon travail

  70. Très bonne critique. Tu as bien compris la reflexion proposée par l’auteur à travers ce récit.

  71. Très bon critique. Bon travail

  72. Bon critique. Très bon travail!

  73. Ce livre est très intriguant dans le sens où j’ai eu envie de savoir plus d’information sur le personnage et ses proches. L’auteur a bien laissé du suspense pour plonger plus facilement dans le livre. Cet adolescent qui vit dans une famille où le père est très dur avec lui, et qui a une relation amoureuse un peu instable parfois ne fait qu’enchaîner les problèmes. Son père ne supporte pas qu’il aille à l’école, or son fils veut faire journaliste un métier qui lui tiens à cœur, qui demande des études (4 à 5 ans ) et il n’hésiterait d’ailleurs pas à quittait sa famille et partir faire ses études autre part. Ce livre est un journal intime et donc ce collégien écrit dans ce journal comme si il parlait directement à un copain de plus ce livre à une touche humoristique notamment grâce au copain de cet adolescent qui fondent des groupes pour faire des blagues et d’ailleurs c’est assez marrant. Ce recueil de la vie d’un enfant est aussi touchant que parlant car avec une poignée d’étoiles on peut faire une vie magnifique.

  74. Bon travail même si ta critique reste un peu « générale ». Bonne critique!

  75. Ce livre est une pépite! Ce journal me paraissait ennuyeux au début mais après je suis devenu accro! Ce journal critique pleins de choses surtout la liberté de presse, d’expression. J’ai trouvé le narrateur très intelligent car même si les gens n’avaient pas le droit d’écrire des journaux critiquant le gouvernement, il a eu l’idée des journaux-chaussettes et c’est précisément cette partie du livre qui m’a plue. J’ai aussi adoré Habib, il est courageux et très expérimenté, je suis déçu qu’il soit retourné en prison.
    Et il y avait aussi Mahmud. Il aidait beaucoup Habib et l’apprenti Boulanger à préparer les journaux-chaussettes par contre je ne voyait pas l’intérêt d’écrire des blagues. Peut-être pour détendre l’atmosphère? Pour moi, le passage le plus difficile à lire est la mort de l’oncle Salim. Dès le début du journal, je savais qu’elle finirait par arriver. Par contre, je n’avais pas prévu le renversement du gouvernement. J’ai trouvé la fin trop cruelle donc j’ai décidé d’inventer une suite au livre: » Le narrateur, Nadia et Mahmud tentent de s’infiltrer dans la prison pour sauver Habib qui leur avait manqué. Ils réussissent à détourner l’attention des gardes avec les blagues de Mahmud et Nadia et l’apprenti Boulanger s’introduisent dans la prison. Ils réussissent à récupérer les clefs de la cellule d’Habib et commencèrent à la chercher… Mais leur intrusion ne fut pas longue car après avoir ouvert la cellule d’Habib, une vingtaine de gardes armés les entouraient et les enfermèrent dans la cellule d’Habib. Nadia et son ami sombraient dans le désespoir quand soudain, une centaine d’habitants dévoila dans la prison et les gardes, n’osant pas tirer, furent pris de court et les habitants forcèrent la porte de leur cellule et de toutes les autres(il n’y avait que des prisonniers politiques)et ils s’en allèrent en portant les enfants comme des héros. Deux ans plus tard, l’apprenti Boulanger devint apprenti journaliste et sa carrière fut des plus illustres car tout le monde le connaissait en tant que sauveur du pays et ses poèmes furent publiés et lus dans le monde entier. Quand à Nadia, elle restait avec lui et adorait quand il lui récitait ses poèmes symbole de paix. »

  76. Wouawwwww!!!! Excellente critique Mael! Vraiment beaucoup de plaisir à la lire. Bravo!

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